TRAVELLING ET CONTRE-JOUR

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La Bande à Nat'> Vicky D'Hollander

Née le 14 juin 1983 à Tongres (Belgique)

Fille de Sven D’Hollander et de Fabienne Klain

Portrait de Vicky D'Hollander © Philippe EnglebertLe caractère attachant de Vicky D’Hollander apparaît à tous en un battement de cil. Fraîche, pétillante, le regard clair, le sourire quasiment indélébile, cette jeune fille aux cheveux d’une blondeur vénitienne et aux yeux vert espoir porte en elle tous les atouts de la sympathie, et plus encore.

Vicky est née vers la fin du printemps 1983 à Tongres, dans la province belge du Limbourg. Elle a pour parents une pharmacienne, Fabienne Klain, et un ex-moniteur de tennis qui est maintenant gérant à temps plein d’un centre sportif, Sven D’Hollander. Ils voulaient au départ prénommer leur fille Victoire, mais ont finalement convenu que le diminutif cadrerait davantage avec la consonance germanique de son patronyme. Il faut dire qu’avec un père néerlandophone et une mère francophone, Vicky n’a guère eu de mal à s’imprégner d’un bilinguisme absolument parfait. Excellente élève, extrêmement appliquée, elle a d’ailleurs fait toutes ses études maternelles, primaires et secondaires en Flandre, mais a par la suite poursuivi un cursus universitaire dans la langue de Voltaire. Elle a un petit frère, Tom, qui a vu le jour en novembre 1990.

Très tôt, Vicky a fait montre d’un esprit fort enthousiaste, qui s’est exprimé dans des activités diverses. Depuis qu’elle est toute petite, elle a accumulé d’innombrables jeux de société auxquels elle vouait chaque fois un culte acharné, avant de s’en lasser pour passer au suivant. Elle s’est également mise au violon à l’âge de six ans, un engagement qui a retenu toute son assiduité pendant plusieurs années. Son père, sportif accompli, lui a évidemment fait découvrir les bienfaits de l’éducation physique. C’est ainsi qu’elle tâta elle aussi de la petite balle jaune sur terre battue, bien qu’elle ait davantage pratiqué la marche et le footing, qui lui permettaient de s’adonner par la même occasion aux joies de la nature. Grande fervente d’espaces verts et d’oxygène, Vicky adore flâner en plein air, et a largement profité, dans son enfance, des plus beaux cadres de la ville de Tongres. On ne compte plus ses heures d’évasion passées au parc régional « De Kevie » ou au Beukenberg, magnifique lieu de promenades situé sur les terres d’un ancien aqueduc du premier siècle après Jésus-Christ. Déjà très soucieuse de l’environnement et de sa protection, elle s’est encore prise de fascination pour l’observation des papillons, avant de commencer l’équitation à douze ans. La liste de ses centres d’intérêt est particulièrement longue, et révèle son côté très passionné, peut-être l’un des traits les plus marquants de sa personnalité, avec sa sensibilité. Vicky a en effet pour habitude de ne rien vivre à moitié, et de se lancer à corps perdu dans chacune de ses entreprises. Certains de ses élans furent parfois plus éphémères, mais toujours porteurs du sceau de la sincérité. Le coeur de Vicky est immense, et à la mesure de ses rêves.

Généreuse dans ses sentiments, Vicky l’est aussi dans l’effort. Elle a toujours été très studieuse à l’école, et récompensée par son travail. En humanités, elle a choisi une section scientifique avec l’idée de se lancer dans la biologie, mais a finalement opté à l’université pour le droit, emportée qu’elle était par une volonté farouche d’idéalisme et de justice. Beaucoup sont cependant d’avis que Vicky, en ambitionnant l’avocature, s’est dirigée vers un métier trop impitoyable pour ses convictions, et surtout pour sa fragilité personnelle. Tendre à l’excès et probablement mal préparée au côté inhumain de certaines réalités des palais, elle s’est en tout cas sentie très à l’aise avec la matière sur les bancs des amphithéâtres. L’avenir dira ce qu’il en sera pour elle dans la pratique. A l’heure d’envisager ses stages au barreau, elle penche vers le domaine du droit commercial, qui l’a davantage attirée depuis sa deuxième candidature, probablement en raison d’implications parfois moins subjectives que dans le droit pénal ou familial, par exemple, où certaines situations auraient été pour elle bien plus difficiles à gérer. C’est en tout cas l’idée qu’elle s’en fait.

Portrait de Vicky D'Hollander © Angelica PettenoC’est donc à Bruxelles que Vicky est entrée à la faculté de droit, dans la filière francophone. Il s’agissait d’un souhait de sa mère (originaire de la région du Centre en Wallonie), un rien possessive mais avec qui elle entretient une forte complicité. A l’université, Vicky a fait ses études en même temps qu’Alexandra Tombacq, une blonde impertinente et délurée qui sera une des ses grandes camarades d’auditoire, et a rencontré Kim Hai, sa marraine de baptême, elle aussi dotée d’un solide tempérament, et dont elle restera très proche. Via Alexandra, Vicky rencontrera Valentine puis Nathalie Lonsart, et sympathisera également de façon très marquée avec Judith Grabsch, la meilleure amie de Kim. Elle s’est ainsi intégrée au sein de la bande à Nat’, où chacun admire sa douceur et sa gentillesse. A titre d'anecdote, on lui a connu une très furtive liaison avec le producteur Walter Todesco, avant que le destin de ce dernier se concrétise avec Diane Tulli.

Malgré ses qualités et sa facilité pour plaire, Vicky a parfois un peu de mal à avoir pleinement confiance en elle. Elle fait pourtant chavirer beaucoup d’hommes mais hésite énormément à s’engager, certainement parce qu’elle ne se sent pas encore prête à assumer certaines responsabilités. Et son sourire a beau exprimer le contraire, elle ne peut se défaire de quelques doutes sur le plan professionnel également, malgré un cursus impressionnant jusqu’ici. Une réserve qui tranche un peu avec la ferveur de ses idéaux, mais qui illustre à merveille son petit côté vulnérable.

Lorsqu’elle n’est ni à Tongres, ni à Bruxelles, Vicky passe du temps dans le Namurois, où est située la résidence secondaire de ses parents, du côté de Mariembourg, ce qui la rapproche alors de l’entourage de Nathalie Lonsart. Elle aime aussi mettre à profit ses périodes de vacances pour se ressourcer en Gironde, et plus exactement à Bordeaux ; c’est là que travaille et habite sa tante de la branche maternelle, qui collabore au tracé de circuits touristiques à travers le Sud-Ouest de la France.
Son petit frère, Tom D’Hollander, est quant à lui affilié en équipes de jeunes au club de football de Saint-Trond.

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